Poème de Patricia Laranco.

Le vent déporte son cristal

vers le flou des soleils cassés

les branches cherchent une issue

entre les stratifications

incertaines des couches d'air;

ça n'est que trois fois rien, rien

qu'une secousse au flanc du ciel

à la pointe de l'horizon

en palimpseste et en travers

de la liquide oblicité;

juste un frisson

qui vient de loin,

plisse le sépia suranné

où les vagues dutemps passé

pulsent

en s'évanouissant

Comments

[escort genève]

Je pense surtout que c'est grâce à ces contes, que l'amour existe encore et toujours!