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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 14:31

Article à lire sur  le SITE DE LA COMMISSION EUROPEENNE :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

http://cordis.europa.eu/fetch?CALLER=NEWSLINK_FR_C&RCN=32256&ACTION=D

 

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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 11:11

 

      15

 

Haro sur les objets !

Je m’explique. La journée avait bien commencé. Exercices de chatouillage avec une fourchette pendant une bonne heure qui ont servi à démontrer l’efficacité de la fourchette ( I had a dream, I dreamt of a fork ! ) et aussi de cette méthode car je suis parvenu à apprivoiser mon rire. Pas totalement évidemment mais ce n’est là qu’une question de temps. Ensuite j’ai pensé à des choses sérieuses, j’ai ainsi réfléchi à la question du mâle dans le monde. On peut trouver que c’est un problème sans conséquences mais on a tort. Mais il ne s’agit pas de discourir à ce propos car il n’est pas dans mes intentions de vous déprimer.

J’ai évité, avec beaucoup de soin, la télévision. Je l’ai reléguée dans une chambre d’ami. Il était quatre heures de l’après-midi et franchement j’exultais. Dans ce combat titanesque qui oppose l’homme au rire, un vainqueur se profile à l’horizon, en l’occurrence et en toute modestie, moi !

Mais un malheur survint à cinq heures précises. Un objet, apparemment anodin, suscita le fou rire. Le coupable n’est autre qu’une bague en plastique que j’avais offerte à ma première copine. La bague, mesquine comme tout, s’était cachée dans une armoire que j’ai eu le malheur d’ouvrir. Ainsi je me retrouvais soudainement propulsé dans le temps, dans les années quatre-vingt. J’étais alors un adolescent boutonneux et timide qui n’avait qu’un seul objectif en tête, draguer les filles. Mais ma timidité excessive compliquait ma tâche. A l’époque on ne disposait pas de réseaux sociaux ni de sms pour aborder les filles de façon discrète, il fallait foncer, soit on lui parle, soit on se casse la gueule. Bienheureux sont les jeunes du vingt et unième siècle qui ont la possibilité de draguer impunément, les nouvelles technologies sont un vaste champ démocratique qui  permet à tout un chacun, le plus laid, le plus ridicule et même le plus stupide compris, de tenter sa chance.  Qu’on arrête de nous dire que les réseaux sociaux sont à l’origine de tous les problèmes, ils ont au contraire permis à de nombreux marginaux et à de nombreux cons de réussir !

Elle s’appelait Reshmi. Elle avait seize ans. Elle était élève au QEC mais elle ne se donnait pas des airs, n’était ni arrogante ni déterminée à être lauréate. Mais qui se soucie à cet âge de la personnalité, on s’en moque complètement ; elle était très mignonne et elle avait la classe. Une classe qui transpirait par tous ses pores. On se voyait tous les lundis chez Monsieur Faro, le célèbre professeur de Français, qui donnait des cours particuliers dans son garage. Le recrutement était plus que sélectif, on y retrouvait toutes les grosses têtes des collèges de l’élite, les Royals, les St Esprit, les Maurice Cure et les autres. Un élève du John Kennedy College, à la tête de clown, s’était immiscé parmi nous. Je me demande toujours à quoi tenait le succès de Monsieur Faro. Sa pédagogie était inexistante, il parlait surtout de politique et des actualités internationales mais je crois qu’il était un grand charmeur. Il charmait les parents qui, puisqu’ils étaient charmés, exigeaient que leurs chérubins se rendent chez lui pour apprendre le Français.

Reshmi me faisait les yeux doux. Du moins c’est ce que je voulais croire. Elle me regardait de façon obstinée pendant une trentaine de secondes puis brutalement détournait les yeux et fixait le mur. Puis elle me regardait à nouveau. Puis elle fixait le mur. Puis elle me regardait. Mais qu’est-ce que cela pouvait bien dire ? Je n’arrêtais pas de démêler les fils de ce mystère. Qu’est-ce que ce regard pouvait bien dire. M’aimait-elle aussi ? Voulait-elle me dévorer ? La deuxième option n’était pas pour me déplaire.

Je préfère vous épargner la trame de cette amourette mais on dira, pour faire court, qu’un jour je trouvais le moyen, alors que Monsieur Faro discourais sur une ènième magouille politique de nos dirigeants, de lui offrir cette bague en plastique ( rose et pas tout à fait laide ), qu’elle me retourna plus tard, le jour de notre rupture.

Cette maudite bague avait trouvé le moyen de resurgir après toutes ces années ! Et le rire enfla irrésistiblement ; je me revis dans la classe de Monsieur Faro, où j’avais trouvé le moyen de m’asseoir à coté d’elle, devant laquelle  je me dandinais comme un singe en quête d’une banane ; je tremblais  d’ailleurs autant qu’ une feuille de bananier et je ne sais trop comment, dans de telles circonstances, je parvins à glisser la bague accompagnée d’ une lettre ( dans laquelle je lui avouais mon amour ravageur ) à l’intérieur de son sac.

Ce rire ne cessa d’enfler.

HOUHAHOUHAHOUHAHOUHA.

HOHOHOUHOHOHOU.

Et le comble c’est que je découvris peu après que cet amour était réciproque !

Non mais quel idiot je faisais !

Haro sur les objets donc.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Umar Timol

(à suivre)

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 21:13

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Photos  : P. Laranco

 

 

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 11:16

 

1.

 

 

 

 

 


 

 

Le mutisme violent du soleil

là, dehors

ouvre l'air et trace un soudain sillon d'absence

où je m'engouffre à contre-courant du duvet

flamboyant et blond de la torpeur qui palpite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2.

 

 

 

 

 


 

 

 

Lac

au tranquille clapotis,

surface plissée, ridulée,

tu es pareil à un drap bleu

 

 

 


 

je voudrais me couvrir de toi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

Patricia Laranco.

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 10:55


LES ENFANTS DE TROUMARON,

film dont le scénario est signé ANANDA DEVI (d'après son roman Ève de ses décombres),

réalisé par HARRIKRISHNA ANENDEN,

sera projeté 3 fois au FESTIVAL DES FILMS DU MONDE de MONTREAL qui commence la semaine prochaine

 

 

 

 

 

 


Voir sur

http://programmation.ffm-montreal.org/80-fr_les-enfants-de-troumaron-the-children-of-troumaron-.html

 

 

 

 

 

 


Festival des Films du Monde

du 23 août au 3 septembre http://www.ffm-montreal.org/

 

 

 

 

 

 


Le film sera lancé à Maurice le 6 septembre 2012.

 

 

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 10:22

 

14

Kalia ou briani ? C.. ou P.. (je parle de boissons gazeuses) ? Il est des débats dont les Mauriciens ont le secret. Le mien relève de la métaphysique pure. Je ne sais pas tout à fait ce que cela veut dire mais cela me donne un air d’intello et ce n’est pas pour me déplaire.

A ma gauche, le plumeau, mince et élégant ; aux extrémités de son corps de belles plumes qui indiquent son intelligence et sa sophistication.

A ma droite, la fourchette, ustensile dont on sous-estime l’importance, essentiel pourtant car il nous permet de nous nourrir et parfois de bouffer.

Il ne s’agit pourtant pas de débattre des mérites respectifs de ces deux objets. Nous laisserons à d’autres esprits, plus doués, plus fins que le mien, le soin de résoudre cette énigme.

Mon problème est beaucoup plus simple ou si on veut paraître intello, plus prosaïque. Il s’agit de déterminer lequel des deux est le plus adapté à un exercice très précis, chatouiller mes pieds.

La nuit porte conseils.  Elle gravera dans mes rêves le nom de l’élu(e).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Umar Timol

(à suivre).

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 11:22

Accroche-toi à ce que tu as plutôt que de penser à ce que tu n’as plus ou à ce que tu pourrais avoir !

 

 

 

La peinture, c’est une histoire de mouvement et de couleurs. C’est un mouvement (ou plusieurs) qui ramasse(nt), rafle(nt) des couleurs sur son (leur) passage.

C’est une tentative de contrer leur tendance naturelle à l’émiettement. Un essai de les ramener au bercail d’une (secrète) géométrie.

 

 

 

Tout poème est l’esquisse, l’étude (au sens où l’entend un peintre) du Poème. Celui qu’on n’écrira peut-être jamais.

 

 

 

Une perception, une opinion, ça peut toujours se mettre en doute. Rien, au fond, n’est jamais que, pour une bonne part, le reflet de nos évaluations, de nos réactions, de nos impressions.

Les choses ne nous sont jamais données que par le truchement, le tamis, par le prisme déformant de nos humeurs. Seules, les équations reposant sur la pure logique s’avèrent aptes à décrire le monde au plus près de sa justesse. Encore éprouvons-nous, Hommes que nous sommes, le besoin d’interpréter à notre façon (c'est-à-dire avec nos concepts, nos mots et en fonction de nos préoccupations, de nos rêves, de nos questions) ce qu’elles décrivent. Nous ne nous fions jamais, en dernier ressort, qu’à notre instinct…mais est-il dans le vrai ?

 

 

 

Il faut douter. Douter toujours. Mais c’est une chose inconfortable.

 

 

 

Dans l’acquisition de la connaissance, si apprendre est important, l’essentiel ne réside-t-il pas, en dernier ressort, dans deux types d’attitude fondamentaux : observer et réfléchir ensuite à ce que l’on observe ?

 

 

 

La vraie connaissance nécessite de se débarrasser des formatages. Sans cela, on n’a aucune possibilité de se reconstruire un œil neuf, non parasité par présupposés et préjugés.

Celui qui veut connaitre se doit d’abord d’observer la tête vide ou, du moins, aussi vide que possible.

 

 

 

L’empathie, la compréhension sont le début de l’acceptation.

 

 

 

En prônant et en favorisant l’individualisme outrancier, la civilisation occidentale coupe dramatiquement l’être humain de ses capacités d’empathie, de dialogue avec l’altérité.

 

 

 

Pour instaurer une communication, il faut avoir la capacité de s'extraire de son ego pour écouter correctement et entendre pleinement  le point de vue de l’autre. Si lointain, si différent qu’il soit.

 

 

 

Rien ne bouge jamais ; tout change.

 

 

 

Que ce soit en matière d’ethnie, de sexe ou d’âge, il y encore bien des plafonds de verre difficiles à crever.

 

 

 

Qu’on le veuille ou non, l’Histoire est ce qui nous fabrique et nous détermine. L’ignorer ou vouloir l’oublier exposent à de profondes incompréhensions.

 

 

 

Nos ancêtres sont notre origine.

Nous sommes leur continuation.

Et pourtant, à tout prendre, nous ne leur ressemblons que très peu : l’oubli, les différences de mode de vie et même les mutations et les incessants renouvellements génétiques nous en séparent. Tous sont le fruit d’un seul et unique facteur : la dérive temporelle…

Ainsi, en un certain sens, notre lien à nos ancêtres s’avère ténu. Peu de gens connaissent (de fait ou de réputation) les personnes dont ils sont issus au-delà de la quatrième génération d’ascendants. Certains de nos aïeux – les plus lointains – parlaient une autre langue que nous. Car les cultures, les façons de vivre, les modes de pensée, les langues, les affiliations et appartenances, sur le long terme, se modifient au gré des aléas de l’Histoire. Les gènes eux-mêmes passent leur temps à se recombiner, à muter, à se mélanger avec de nouveaux gènes.

A maints égards, la référence à l’ancestralité est factice.

Mais nous en avons besoin : c’est sans doute lié à notre crainte de la mort et à notre sens aigu du lien, de même qu’à notre attachement viscéral à une continuité doublé d’un désir impératif de comprendre nos origines.

Toutes les populations humaines anciennes pratiquaient le culte des ancêtres. Un culte étroitement lié à la croyance en la vie après la mort et à la survie de l’esprit, de même qu’à la territorialité. Et aujourd’hui notre prédilection pour le devoir de mémoire et pour la généalogie pourrait être perçu comme une forme de résistance au règne tout puissant de « l’individu seul pour l’individu seul », de la monade humaine.

 

 

 

La différence est une sorte de défi lancé à l’empathie. Car, au fond, quelques soient les efforts, les tentatives que je fais pour me rapprocher de lui, pour me mettre à sa place, je ne serai jamais l’autre, jamais DANS LA PEAU de l’autre. La bonne volonté, pas plus que le désir, l’acharnement n’y feront rien.

Plus l’autre est différent (ou nous apparait comme tel), plus notre faculté, notre capacité d’empathie tend à se briser contre le roc de son altérité.

La différence, par certains côtés, peut être vue comme un rappel à l’ordre, à l’ordre de la limite. Par certains côtés aussi, de par son caractère irréductible, elle nous confronte à ce qui, ma foi, ressemble passablement à un échec.

C’est l’une des raisons pour lesquelles l’altérité met autant mal à l’aise et irrite tant.

Chacun de nous est seul avec son être qui ne ressemble à personne.

 

 

 

Il faut accepter qu’il y ait, en chaque être, une part d’incompréhensible, un noyau absolument opaque. Sans cela, pas moyen d’accepter de quelque façon que ce soit l’altérité. Admettre l’altérité, c’est admettre en même temps nos limites.

 

 

 

L’absence possède la musicalité du vide. Pareille à toutes les choses qui existent en creux,, à toutes les déchirures pratiquées au cœur d’un tissu homogène, elle grossit à vue d’œil, s’emplit d’elle-même en quelque sorte, et finalement son hiatus, par delà ce qu’il peut avoir d’obscène, devient une poche de vide pur, une alvéole de vacuité aussi fascinante qu’un œil d’or ou qu’un œil d’une couleur changeante et indéfinissable.

Et la poche de non-présence se met à étinceler de sa propre lumière, de sa propre luminosité qui, à force, se transmue en une lueur poudroyante et foudroyante, pour tout dire omniprésente, plus présente que la présence elle-même. C’est en ce sens que l’absence pourrait être qualifiée de plus-que-présence, voire de surprésence. Car, à ce stade, elle dépasse la présence en force, assurément. A la présence, elle est ce que le non-dit est à l’exprimé…ce que l’invisible est au visible. Elle est LE MANQUE qui, semblable à la densité d’un trou noir, attire tout à lui.

 

 

 

 

 

 

P. Laranco.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 11:19

Essaouira

Essaouira des goélands

tu fermes tes remparts sur l’Atlantique

promontoire bleu et blanc

aux portes des alizés

masque d’un étranger

scrutant l’horizon de la mer

 

Goélands d’Essaouira

vos ailes effleurent

la skala d’où partent les pêcheurs

et leurs rêves de pirates d’antan

 

Nous allons lentement

vers les silhouettes bibliques

des araucarias qui s’épanouissent

derrière les remparts d’Essaouira

 

Nous marchons à l’ombre

des ruelles peuplées d’artisans

modelant patiemment l’arar

 

Puis survient l’éclatante blancheur

d’une place où jouent des enfants

sous l’œil des fenêtres

voilées de silence

 

Et de ci de là mimosa s’épanche

dans le printemps craintif

 

Essaouira des goélands

échouée au large des îles purpuraires

au large de Mogador île frissonnante

de résonnances portugaises

 

Essaouira des goélands

navire bleu et blanc à l’assaut

des terres africaines

forçant les dunes

tel un briseur de banquises

 

Quitterais-tu la terre

reviens-tu de la mer

ville amphibie

 voguant sur les vagues

de mes souvenirs berbères

 

 

 

Jean Botquin

In Triangles de la nuit des temps , 1998.

 

 

 

 

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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 12:38

AIDEZ-NOUS A SAUVER LA TERRE SACREE DES SIOUX LAKOTA !

 

 

 



Les Black Hills vendus aux enchères : sauver PE' SLA

 

 

 



Aidez le peuple LAKOTA à racheter une partie de leurs terres sacrées avant qu’elles ne soient vendues aux enchères.

 

 

 



Dans une course contre la montre, la nation Sioux se bat pour sauver PE' SLA, l'un de ses sites religieux les plus sacrés, le Cœur de Tout. Pe' Sla, est situé dans les Black Hills du Dakota du Sud, c’est l'épicentre de l'histoire de la création des nations Lakota, Dakota et Nakota.

 

 



Pour eux, Pe' Sla n’est pas seulement une prairie et des rochers. C’est un lieu saints, leur Saint-Sépulcre, leur Mecque. Pe' Sla est leur Mur des Lamentations, là où ils se retrouvent pour prier.

 

 



Le danger de perdre Pe' Sla est réel et imminent. Si ce lieu sacré passe dans les mains de quelqu'un d'autre, il est très probable qu'il sera développé, industrialisé. L'État du Dakota du Sud a exprimé qu'il voulait construire une autoroute en plein centre. Le développement de Pe' Sla ' sera la destruction de ce site sacré. Pire encore, il reste seulement 7 jours avant le jour des enchères.

 

 



Après avoir analysé les options juridiques, il a été entendu qu’en raison de contraintes de temps et le fait que Pe’ Sla soit actuellement détenue par une partie privée (la famille Reynolds), notre seule option viable pour sauver Pe' Sla, maintenant et pour les générations futures, ainsi que pour d'autres tribus comme les CHEYENNES et les KIOWA qui ont des croyances et des cérémonies similaires, serait de l'acheter. Le coût de Pe' Sla aux enchères, également appelé "Prairie Reynold," est estimé aux alentours de 6 à 10 millions de $.

 

 



Ils doivent amasser suffisamment d'argent pour racheter des terres qui leur ont été volées par le gouvernement américain. Rappelez-vous, que les Sioux n'ont jamais accepté le règlement des Black Hills proposé par la Cour suprême des États-Unis Cette terre leur a été injustement enlevée. Cet effort, pour sauver leur site sacré, est sans précédent.

 

 



La majorité des tribus Sioux ont des difficultés financières. Le chômage est élevé, et de nombreux membres tribaux vivent dans la pauvreté. Pourtant, les nations Lakota, Dakota, Nakota sont prêtes à donner tout ce qu’elles ont pour sauver Pe' Sla qui est leur bien légitime. Il a été transmis par leurs ancêtres, il y a plusieurs millénaires avant que les envahisseurs européens n’arrivent. Maintenant, ils vous supplient de vous joindre à eux.
« Nous avons besoin de votre aide à tous. Priez pour nous et nos efforts pour sauver Pe' Sla. Partagez cet article, contactez vos connaissances créez une chaine de solidarité. Contribuez à notre cause pour racheter Pe' Sla.

 

 

 

 

 

 


 

 

Les dons peuvent être effectués en ligne ci-dessous ou envoyés à

 

 

 Rosebud Sioux Tribe/PeSla
11 Legion Ave.
P.O. Box 430
Rosebud, South Dakota 57570

 

 

Tous les dons à la tribu sont déductibles d'impôt et ne seront utilisées que pour l'achat de Sla Pe .

 

 

 

 




Versements en ligne : http://www.indiegogo.com/PeSla-LakotaHeartland

 



« Cet effort peut prendre tout ce que nous avons, mais nous ne perdrons pas Pe' Sla  sans un combat. Nous le faisons pour nos enfants, et les vôtres ».

 

Extraits de l’article de Ruth Hopkins, visible en anglais ici : http://indiancountrytodaymedianetwork

.com/ict_sbc/black-hills-auction-saving-pe-sla

 



Vidéo sur YouTube : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=t9RAEIza

Z7A

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17 août 2012 5 17 /08 /août /2012 17:16


Polémique

du   18/08/12

sur   Radio One

de   9h00   à   11h

 

 

 

 

 

 

 


Thèmes (entre autres)

 

 

 

 


Pourquoi ne pas retenir la proposition de la VOH…c’est-à-dire bannir FaceBook ?

Que ceux qui veulent retourner dans les cavernes se manifestent….

 

 

 

 

 


Fin d’un long bras de fer entre la MSPA et le JNP: quels enseignements pour l’avenir ?

 

 

 

 

 


L’affaire Naeck: plus jamais ça !

 

 

 

 

 


L’Invité de ce samedi: Kevin Obeegadoo

 

 

 

 

 


Et aussi le billet d’humeur et d’humour de Priscilla Moothien.

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  • : Ce blog s'intéresse à la poésie, à la littérature de l'Océan Indien, à la philosophie, aux sciences, à l'Homme et au sens de la vie.
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